Diffusé sur Instagram et TikTok, ce nouveau programme de debunk tente de gagner la course contre la montre qu’imposent les fake news, des plus sérieuses aux plus insolites. Un programme 100% fabriqué par le journaliste et non moins humain Thomas Huchon, à l’aide de son avatar. 

Pour accomplir cette mission, Antifakenews.AI peut s’appuyer sur les plateformes d’intelligence média et de social listening Brandwatch du groupe Cision. 

Fake news et réseaux sociaux : distinguer le vrai du faux

Grâce aux plateformes Brandwatch, Antifakenews.AI bénéficie des toutes dernières technologies pour repérer, identifier, suivre et comprendre la propagation des fausses informations sur les réseaux sociaux. Cette expertise permet à Antifakenews.AI de lutter efficacement contre la désinformation et de sensibiliser le public à l'importance de l'information fiable et vérifiée. 

Comprendre l’origine du phénomène "fake news" à travers Brandwatch Consumer Research

Si l’expression « fake news » était encore inexistante en France jusqu’en 2016, elle est désormais passée dans le vocabulaire courant depuis l’élection de Donald Trump. Ces 2 derniers mois elle a été mentionnée sur les réseaux plus de 5,32 millions au niveau mondial dont 72,8 K en France

Les sujets les plus retentissant liés aux fake news sont actuellement ceux liés au conflit entre Elon Musk et Alexandre de Morales et donc à l’enquête qu’il a diligenté sur les fake news. Ce dernier, juge à la Cour suprême du Brésil a ouvert, début avril, une enquête contre le propriétaire de X. Elon Musk l’a accusé de « censure » et a réclamé sa démission à travers une série de posts sur le réseau social. 

Cependant, Donald Trump est toujours le visage accolé aux fake news. En mars c’était cette phrase détournée de son contexte lors d’un discours sur l’industrie automobile, évoquant un potentiel « bain de sang » s’il n’était pas élu en 2014. En avril, ce sont les révélations de David Pecker, ancien patron du tabloïd américain National Enquirer, lors du procès de Donald Trump, qui concède avoir acheté des informations sensibles concernant l'ancien président dans le but de les garder confidentielles. 

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